Si le musée bernois accueille l’héritage le 26 novembre, il accepte donc une collection plus grande, mais aussi plus exposée aux plaintes. «Ces travaux de re- cherche sont l’enjeu principal de toute cette histoire», explique Andreas Raschèr, avocat spécialisé dans les œuvres d’art.
Les héritiers potentiels des propriétaires spoliés sont prêts à se battre, et en premier lieu depuis les Etats-Unis, comme l’a indiqué le CJM. «Chaque plainte est un risque financier et juridique, une épée de Damoclès pour le musée», fait remarquer l’avocat.